Fils du dessinateur hongrois « Kasso », Peter Kassovitz quitte la Hongrie en 1956 au moment de l’écrasement de la révolution hongroise par les chars soviétiques.
Assistant de l’immense opérateur français d’origine hongroise Jean Badal, il devient un créateur multiforme: cadreur, acteur, scénariste, cinéaste, écrivain et producteur. Ses premiers courts-métrages sont inspirés par des histoires drôles: La Montre avec Rufus. Wikipdédia recense 40 films pour le cinéma et la télévision. Dont « Au bout du bout du banc », « Drôles d’oiseaux », « Jakob le Menteur » avec Robin Williams « Beau Masque » (d’après Roger Vailland) et « Bonjour tristesse » (d’après Françoise Sagan).
Père et complice de Matthieu Kassovitz. Devise confiée lors du tournage et qu’il doit à son père: « le contraire est toujours vrai ».